40 contributions pour dessiner l'avenir de la psychiatrie

SOMMAIRE

  • Co1.       Contrairement à l’histoire du reste de la médecine, dont le développement est linéaire, l’histoire de la psychiatrie est sinusoïdale, Pr Jacques HochMann, (Lyon), p.32
  • Co2.      Nous avons, en tant qu’élu.e.s une responsabilité essentielle pour faire en sorte que la santé mentale soit une priorité, Mme Johanna Rolland, Présidente de Nantes métropole, présidente de France urbaine, p.40
  • Co3.      Pour le maire, la santé mentale est l’équivalent de l’harmonie, la maladie mentale recouvre elle, tout ce qui est violence, Dr Émile Roger Lomberti, maire de Limoges, psychiatre, p.50
  • Co4.      Le Danemark ; parcours de soins du patient pluriprofessionnel à travers une personne de contact principal, Sophie Labrosse, Annette Bertelsen Arbes, Ambassade du Danemark, p. 56
  • Co5.      Une démédicalisation de la psychiatrie semble paradoxalement engagée, Pr Nicolas Georgieff, CHS Le Vinatier (Lyon), p.64
  • Co6.      La psychiatrie, sous article 51, pourrait être une véritable occasion de réinventer le secteur. Robin More, ancien directeur de clinique psychiatrique, p. 74
  • Co7.      La pédopsychiatrie, en tant que discipline autonome ne doit pas disparaître, Lénio Rizzo, pédopsychiatre à Trévise (Italie), p.82
  • Co8.      En 1960, c’est la psychiatrie qui a montré la voie au progrès pour l’organisation des soins. Elle ne peut pas, en 20211, être le frein à un nouveau progrès, Édouard Couty, ancien Directeur général de l’organisation des soins (DGOS) au ministère de la santé, p.90
  • Co9.       Les soins psychiatriques modernes doivent respecter trois fondements, Pr Nicolas Franck, (Université de Lyon), p.98
  • Co10.    L’approche orientée vers le rétablissement, la réhabilitation psychosociale, offre au patient la possibilité de se réapproprier sa propre conscience, Florence Schwarzel, Cadre de santé (CHS le Vinatier, Lyon), p.106
  • Co11.     Le rétablissement est au centre d’une évolution majeure des pratiques, Dr Marion Espitalier (CHU de Nantes), p.114
  • Co12.    Outre l’impact de la solitude sur la santé mentale, certaines études ont suggéré que la solitude est susceptible d’avoir un impact sur la santé, Dr David Gourion, psychiatre libéral (Paris), p.122
  • Co13.    La santé mentale et la psychiatrie regorgent de travaux à mener en partenariat, et en lien avec les institutions, Thibaud Bertrand, Agence régionale de santé Bretagne, p.130
  • Co14.    Les psychologues sont de fervents défenseurs du respect du temps psychique…, Dr Ophélie Ségade-Bourgeoiset, Hôpital Necker enfants malades (Paris), p.140
  • Co15.    La vague psychiatrique commence à déferler, et est amenée à perdurer, François Flotes, infirmier (CHS le Vinatier, Lyon), p.148
  • Co16.    Il faut déstigmatiser la psychiatrie au sein de la population générale, mais aussi de la population soignante, Baptiste Gaudelus, Infirmier de pratique avancée (centre hospitalier le Vinatier, Lyon), p.156
  • Co17.    Les acquisitions viennent du dedans, les apprentissages du dehors, Pr Bernard Golse, Pédopsychiatre (Université René Descartes-Paris), p.164
  • Co18.    Éduquer à la santé mentale, c’est exercer une part de notre responsabilité commune, Émilie de Fos (centre hospitalier de Nanterre), p.172
  • Co19.    Réfléchissons à une répartition des structures de proximité selon les bassins de population et non plus en fonction des frontières départementales, Dr Nathalie Salomé, centre hospitalier d’Esquirol (Limoges), p.178
  • Co20.    Laissons les professionnels de la psychiatrie construire les filières et les parcours dans les territoires, Bruno Daunizeau, Psychanalyste clinicien (expert auprès de la Cour d’appel de Versailles), p.186
  • Co21.    88 % des expertises psychiatriques sont réalisées par les praticiens hospitaliers, Dr Nidal Nabhan Abou (Rennes), p. 196
  • Co21.    Ma proposition d’accompagnement de médiateur de santé-paire est rarement refusée, Juliette Vaillant, médiatrice de santé-paire, Établissement public de santé mentale Barthélémy-Durand, p.204
  • Co22.    La prise en considération du corps est importante pour comprendre la plupart des problématiques, Marie Orieux (CHU Nantes), p. 212
  • Co23.    Le véritable défi de la psychiatrie sera d’intégrer l’ensemble des innovations médicales, Dr Jean-Yves Pérol, psychiatre libéral (Clermont-Ferrand), p.218
  • Co24.    Le mot « Burn-out » est devenu un mot valise, au contenu multiforme, Dr François Caroli, Hôpital Saint-Anne (Paris), p.228
  • Co25.    Il ne faut pas considérer la technologie comme obligatoirement déshumanisante, Dr Victor Souffir, psychiatre, p.234
  • Co26.    Une UAU (unité d’accueil d’urgences) permettrait dans les hôpitaux de réduire considérablement les mises en CSI (isolement) ou en contention des patients, Dr Gilles Vidon (Hôpitaux de Saint-Maurice), p.243
  • Co27.    L’exercice du tutorat doit se réaffirmer comme un moyen de mieux accompagner les jeunes professionnels, Benoit Chalonçon, Infirmier de recherche clinique, CHS Le Vinatier (Lyon), p.250
  • Co28.    Le modèle Clubhouse devrait trouver un essor considérable dans un futur proche, tant les besoins sont immenses, Fabienne Hubert, Clubhouse (Nantes), p.258
  • Co29.    Valorisons l’idée que ce sont les femmes et les hommes qui font la psychiatrie, pas les hommes, Dr François Olivier, coordonnateur HAD psychiatrique (Montauban), p.264
  • Co30.    Les soins psychiatriques à domicile m’ont conforté dans ma philosophie médicale centrée sur une rencontre humaine individualisée, Baptiste Mousques, Interne des hôpitaux de Nantes, Dr Julien Peignet pédopsychiatre, (CHU de Nantes), p.274
  • Co31.    La PEA (psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent), une spécialité médicale en repli, voire en danger, Dr Stéphane Grisi, CHS Le Vinatier (Lyon), p.280
  • Co32.    La répartition des psychiatres sur l’ensemble du territoire est très contrastée, Dr Samam Sarram, addictologue, hôpital Charles Perrens, p.284
  • Co33.    La recherche et l’innovation doivent être au cœur du combat contre les maladies psychiatriques, Pr Marion Leboyer (Paris), p.290
  • Co34.    Les secteurs de psychiatrie prennent en charge des patients à valence sociale de plus en plus lourde, Dr Alan Mercuel, chef du pôle psychiatrie précarité, (Paris), p.304
  • Co35.    Sortir des addictions, c’est aussi prendre en charge simultanément les pathologies addictiologiques et psychiatriques associées, Pr Alain Dervaux (Amiens), p.312
  • Co36.    Cet effort pour la psychiatrie publique nous parait une véritable urgence républicaine, Dr Michel Triantafyllou, (Paris), p.318
  • Co38.    Le bilan de ce système met en évidence des inégalités insupportables dans un pays qui investit autant d’argent dans sa protection sociale et sa santé, Dr Jean-Luc Roelandt, (Lille), p.326
  • Co39.    Il est nécessaire de pouvoir imaginer des modalités globales d’accueil d’accompagnement, et de soutien aux populations vieillissantes, Dr Cécile Hanon (Paris, AP-HP), Dr Renaud David (Nice), p.334
  • Co40.    Si la psychiatrie est une discipline médicale, la santé mentale est une question de santé publique, Dr Rachel Bocher (CHU Nantes), p.340


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